Ex 283/ Let's get to know Frank 681a3j
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Ex 283/ Let's get to know Frank
Message de F)
Hello dears,
Après la dure histoire de Frank Isabel, nous allons rencontrer un autre Frank... Ils ont le même prénom, mais à part cela, tout les sépare : leur âge, la période où ils vivent, leurs conditions de vie et de travail et beaucoup d'autres détails que vous allez découvrir... Le style change aussi... comme vous le verrez! Bon courage !
Translate into French:
At the end of the week Mrs. OConnel hands me the first wages of my life, a pound, my first pound.
I run down the stairs and up to OConnel Street, the main street, where the lights are on and people
are going home from work, people like me with wages in their pockets. I want them to know Im like
them, Im a man, I have a pound. I walk up one side of OConnel Street and down the other and hope
theyll notice me. They dont. I want to wave my pound note at the world so theyll say, There he goes,
Frankie McCourt the workingman, with a pound in his pocket.
Its Friday night and I can do anything I like. I can have fish and chips and go to the Lyric Cinema.
No, no more Lyric. I dont have to sit up in the gods * anymore with people all around me cheering on
the Indians killing General Custer and the Africans chasing Tarzan all over the jungle. I can go to
the Savoy Cinema now, pay sixpence for a seat down front where theres a better class of people eating
boxes of chocolates and covering their mouths when they laugh. After the film I can have tea and buns
in the restaurant upstairs.
Michael is across the street calling me. Hes hungry and wonders if theres any chance he could go to
the Abbots for a bit of bread and stay there for the night instead of going all the way to Laman Griffins.
I tell him he doesnt have to worry about a bit of bread. Well go to the Coliseum Café and have fish
and chips, all he wants, lemonade galore, and there well eat two big bars of chocolate. After the film
we have tea and buns and we sing and dance all the way to the Abbots.
Frank McCOURT, A Memoir of a Childhood.
* être assis "au poulailler"
Cet exercice est un
et sa correction sera en ligne le vendredi 27 septembre 2024 .
C'est court... Désolée, mais je serai indisponible en toute fin de mois...
Merci de m'aider à tenir les délais ! 
We'll all have THE FORCE!

Message de F)
Hello dears,



Après la dure histoire de Frank Isabel, nous allons rencontrer un autre Frank... Ils ont le même prénom, mais à part cela, tout les sépare : leur âge, la période où ils vivent, leurs conditions de vie et de travail et beaucoup d'autres détails que vous allez découvrir... Le style change aussi... comme vous le verrez! Bon courage !


Translate into French:
At the end of the week Mrs. OConnel hands me the first wages of my life, a pound, my first pound.
I run down the stairs and up to OConnel Street, the main street, where the lights are on and people
are going home from work, people like me with wages in their pockets. I want them to know Im like
them, Im a man, I have a pound. I walk up one side of OConnel Street and down the other and hope
theyll notice me. They dont. I want to wave my pound note at the world so theyll say, There he goes,
Frankie McCourt the workingman, with a pound in his pocket.
Its Friday night and I can do anything I like. I can have fish and chips and go to the Lyric Cinema.
No, no more Lyric. I dont have to sit up in the gods * anymore with people all around me cheering on
the Indians killing General Custer and the Africans chasing Tarzan all over the jungle. I can go to
the Savoy Cinema now, pay sixpence for a seat down front where theres a better class of people eating
boxes of chocolates and covering their mouths when they laugh. After the film I can have tea and buns
in the restaurant upstairs.
Michael is across the street calling me. Hes hungry and wonders if theres any chance he could go to
the Abbots for a bit of bread and stay there for the night instead of going all the way to Laman Griffins.
I tell him he doesnt have to worry about a bit of bread. Well go to the Coliseum Café and have fish
and chips, all he wants, lemonade galore, and there well eat two big bars of chocolate. After the film
we have tea and buns and we sing and dance all the way to the Abbots.
Frank McCOURT, A Memoir of a Childhood.
* être assis "au poulailler"
Cet exercice est un



C'est court... Désolée, mais je serai indisponible en toute fin de mois...


We'll all have THE FORCE!



Réponse : Ex 283/ Let's get to know Frank de E)
Hello bon a corriger MERCI
À la fin de la semaine, Mme OConnel me remet le premier salaire de ma vie, une livre, ma première livre.
Je descends les escaliers en courant jusquà la rue OConnel, la rue principale, où les lumières sont allumées et où les gens
rentrent du travail, des gens comme moi avec un salaire en poche. Je veux quils sachent que je suis comme
eux, je suis un homme, jai une livre. Je monte dun côté de la rue OConnel et descends lautre en espérant qu'ils
Ils me remarqueront. Ce nest pas le cas. Jai envie dagiter mon billet dune livre sterling au monde pour quils disent : « Le voilà qui sen va,
Frankie McCourt, louvrier, avec une livre sterling en poche.
Cest vendredi soir et je peux faire tout ce que je veux. Je peux prendre un plat de poisson et des frites et aller au Lyric Cinema.
Non, plus jamais le Lyric . Je nai plus besoin de masseoir au poulailler avec des gens tout autour de moi qui encouragent les Indiens tuant le général Custer et les Africains pourchassant Tarzan partout partout dans la jungle. Je peux aller au
Cinema Le Savoie maintenant, payer six pence pour un siège à lavant où il y a des gens d'une meilleure classe sociale qui mangent des chocolats en boites et se couvrent la bouche quand ils rient. Après le film, je peux prendre du thé et des petits pains
dans le restaurant à létage.
Michael est de lautre côté de la rue et mappelle. Il a faim et se demande sil ny a pas une chance quil puisse aller chez
les Abbots pour avoir un peu de pain et y rester pour la nuit au lieu daller jusquà chez Laman Griffin.
Je lui dis quil na pas à sinquiéter dun morceau de pain. Nous irons au cafe du Colisee et nous auront du poisson
et des frites, tout ce quil veut, de la limonade à gogo, et là on mangera deux grosses tablettes de chocolat. Après le film on va aller prendre le thé et des petits pains et on va chanter et danser jusquà la maison des Abbots.
Réponse : Ex 283/ Let's get to know Frank de E)
Hello!
At the end of the week Mrs. OConnel hands me the first wages of my life, a pound, my first pound.
I run down the stairs and up to OConnel Street, the main street, where the lights are on and people
are going home from work, people like me with wages in their pockets. I want them to know Im like
them, Im a man, I have a pound. I walk up one side of OConnel Street and down the other and hope
theyll notice me. They dont. I want to wave my pound note at the world so theyll say, There he goes,
Frankie McCourt the workingman, with a pound in his pocket.
Its Friday night and I can do anything I like. I can have fish and chips and go to the Lyric Cinema.
No, no more Lyric. I dont have to sit up in the gods * anymore with people all around me cheering on
the Indians killing General Custer and the Africans chasing Tarzan all over the jungle. I can go to
the Savoy Cinema now, pay sixpence for a seat down front where theres a better class of people eating
boxes of chocolates and covering their mouths when they laugh. After the film I can have tea and buns
in the restaurant upstairs.
Michael is across the street calling me. Hes hungry and wonders if theres any chance he could go to
the Abbots for a bit of bread and stay there for the night instead of going all the way to Laman Griffins.
I tell him he doesnt have to worry about a bit of bread. Well go to the Coliseum Café and have fish
and chips, all he wants, lemonade galore, and there well eat two big bars of chocolate. After the film
we have tea and buns and we sing and dance all the way to the Abbots.
Frank McCOURT, A Memoir of a Childhood.
A la fin de la semaine, Mme O'Connel me remet mon tout premier salaire, une livre, ma première livre. Je dévale l'escalier et cours vers la rue principale, O'Connel Street, où les lampadaires sont allumés et les gens rentrent du travail, des gens comme moi avec leur salaire en poche. Je veux qu'ils sachent que je suis comme eux, je suis un homme, j'ai une livre. Je remonte l'un des côtés d'O'Connel Street, et descends l'autre, espérant qu'ils me remarqueront. Mais non. Je veux agiter mon billet d'une livre aux yeux du monde entier, et ainsi ils diront c'est lui, cest Frankie McCourt, le travailleur, celui qui a une livre dans sa poche.
C'est vendredi soir et je peux faire tout ce que je veux. Je peux me payer des "fish and chips" et aller au cinéma Lyric. Non, plus de Lyric. Je n'ai plus à monter m'asseoir au poulailler parmi des gens qui applaudissent quand le général Custer se fait tuer par les Indiens et quand les Africains pourchassent Tarzan à travers la jungle. Je peux aller au Savoy maintenant, m'offrir pour six pence une place en bas au premier rang, là où il y a des gens plus distingués qui mangent des boîtes de chocolats et se mettent la main devant la bouche quand ils rient. Après le film, je peux prendre le thé et des petits pains au restaurant à l'étage.
Michael me hèle de l'autre côté de la rue. Il a faim et se demande s'il a une petite chance d'aller au The Abbot prendre un morceau de pain et d'y er la soirée au lieu de faire tout le chemin jusque chez Laman Griffin. Je lui dis de ne pas s'en faire pour un morceau de pain. On va aller au Café Coliseum, se payer des "fish and chips", tout ce qu'il veut, de la limonade à volonté, et puis manger deux grosses barres de chocolat. Après le film, on prendra le thé et des petits pains et on ira au The Abbot en chantant et dansant tout le long du chemin.
Frank McCourt, Mémoires d'une enfance.
Réponse : Ex 283/ Let's get to know Frank de E)
Ex 283 Lets get to know Frank Frank McCourt A Memoir of a childhood
Good evening Here4 U Heres my translation.
A la fin de la semaine, Madame OConnel me remet de main à main le premier salaire de ma vie, une livre, ma première livre.
Je descends lescalier en courant, monte la rue principale 0Connel, les éclairages publics sont allumés et les gens rentrent chez eux après avoir quitté leur travail, des gens comme moi avec leurs gages en poche. Je veux leur montrer que je suis comme eux, je suis un homme, jai une livre. Je monte la rue OConnel dun côté et la descend de lautre, jespère que les gens me remarqueront. Mais, il nen est rien. Je veux agiter mon billet dune livre à tout le monde et les gens diront : Voilà Frankie McCourt louvrier, avec une livre en poche. Cest vendredi soir et je peux faire tout ce que je veux. Je peux manger du poisson et des frites et aller au cinéma Lyric. Non, plus le Lyric, je nai plus besoin de masseoir au poulailler avec des gens tout autour de moi qui encouragent les indiens à tuer le général Custer et les africains à poursuivre Tarzan dans toute la jungle. Je peux à présent aller au cinéma Savoy, en payant six pence pour une place assise face à lécran là où il y a des gens dune meilleure condition sociale qui mangent des boîtes de chocolats et couvrent leur bouche quand ils rient. Après le film, je peux prendre un thé et des petits pains au restaurant à létage. Michael traverse la rue en me hélant. Il a faim et il se demande si il y a une chance daller au restaurant des« Abbotss pour manger un morceau et er la soirée au lieu daller jusquau Laman Griffins.
Je lui dis de ne pas sinquiéter pour le casse croûte. Nous irons au café Coliseum y mangerons un « Fish and Chips », tout ce quil voudra, limonade à gogo et là nous prendrons deux grosses tablettes de chocolat. Après le film nous prendrons un thé et des petits pains, nous chanterons et danserons tout le long du chemin menant aux « Abbots ».
Réponse : Ex 283/ Let's get to know Frank de E)
Hello!
Voici ma traduction :
A la fin de la semaine, Mrs O'Connel me remet le 1er salaire de ma vie, une livre, ma première livre. En courant, je descends les escaliers et je remonte la rue O'Connel, la rue principale, où les lampes sont allumées et les gens rentrent du travail, des gens comme moi, avec un salaire en poche . Je veux qu'ils sachent que je suis comme eux, je suis un homme, j'ai une livre. Je remonte la rue O'Connel dans un sens et je la descends de l'autre, et j'espère qu'ils me remarqueront. Ils ne me remarquent pas. Je veux agiter mon billet d'une livre à la face du monde pour que l'on dise, « Le voilà, Frankie McCourt le travailleur, avec une livre dans sa poche ».d'
C'est vendredi soir et je peux faire tout ce que j'aime. Je peux acheter un « fish and chips » et aller au cinéma Lyric. Non, fini le Lyric. Je n'ai plus à m'asseoir au poulailler, entouré de gens acclamant les Indiens qui tuent le Général Custer et les Africains qui pourchassent Tarzan à travers toute la jungle. Je peux aller au Cinéma Savoy désormais, payer six pence pour une place au parterre, où on trouve des gens d'un milieu plus raffiné , qui mangent des boîtes de chocolat et se couvrent la bouche quand ils rient. Après le film je peux commander du thé et des petits pains au restaurant à l'étage au dessus.
Michael est de l'autre côté de la rue et m'interpelle. Il a faim et se demande si à tout hasard il pourrait aller chez les Abbot demander un bout de pain et y rester la nuit plutôt que de faire tout le chemin jusque chez Laman Griffin.
Je lui dis qu'il n'a pas à s'inquiéter pour un bout de pain. On va aller au Coliseum Café commander des « fish and chips », tout ce qu'il voudra, de la limonade à volonté, et on y mangera deux grosses barres de chocolat. Après le film on prend du thé et des petits pains, et on chante et on danse pendant tout le trajet jusque chez les Abbot.
*Après avoir beaucoup réfléchi, je mets les verbes de la dernière phrase au présent, pour retrouver l'impression de spontanéité et d'immédiateté du début du texte... Je vois que mes collègues ont préféré le futur, grammaticalement plus cohérent en effet... Je prends le risque !

Réponse : Ex 283/ Let's get to know Frank de E)
Hello dears,


Voici notre première rencontre avec Frank McCourt, l'écrivain... En effet, si vous cherchez des renseignements sur
son nom, vous trouverez, en première position, le nom d'un homme d'affaires américain, propriétaire d'un célèbre
club de football...

homonymie malheureuse... J'ai apprécié chacun de ses livres (avec une préférence pour Angela's Ashes), son tout
premier, publié en 1996.

Translate into French:
At the end of the week Mrs. OConnell hands me the first wages of my life, a pound, my first pound.
I run down the stairs and up to OConnell Street, the main street, where the lights are on and people
are going home from work, people like me with wages in their pockets. I want them to know Im like
them, Im a man, I have a pound. I walk up one side of OConnell Street and down the other and hope theyll
notice me.They dont. I want to wave my pound note at the world so theyll say, There he goes, Frankie McCourt
the workingman, with a pound in his pocket.
Its Friday night and I can do anything I like. I can have fish and chips and go to the Lyric Cinema. No, no more
Lyric. I dont have to sit up in the gods anymore with people all around me cheering on the Indians killing General
Custer and the Africans chasing Tarzan all over the jungle. I can go to the Savoy Cinema now, pay sixpence for
a seat down front where theres a better class of people eating boxes of chocolates and covering their mouths
when they laugh. After the film I can have tea and buns in the restaurant upstairs.
Michael is across the street calling me. Hes hungry and wonders if theres any chance he could go to the Abbots
for a bit of bread and stay there for the night instead of going all the way to Laman Griffins. I tell him he doesnt
have to worry about a bit of bread. Well go to the Coliseum Café and have fish and chips, all he wants, lemonade
galore, and there well eat two big bars of chocolate. After the film we have tea and buns and we sing and dance
all the way to the Abbots.
Frank McCOURT, A Memoir of a Childhood.
A la fin de la semaine, Madame OConnell me tend (1) le premier salaire de ma vie, une livre, ma première livre. Je dévale
les escaliers et remonte la rue OConnell, la rue principale, où les lampadaires sont allumés et où les gens rentrent du
travail, les gens comme moi, avec un salaire en poche. Je veux quils sachent que je suis comme eux : je suis un homme
et jai une livre Je monte la rue OConnell dun côté et je la redescends sur lautre trottoir ; jespère quils me
remarqueront. Ce nest pas le cas Je veux agiter mon billet dune livre à la face du monde, afin quils disent : voici
Frankie Mc Court, le travailleur qui a une livre en poche ! (2)
On est vendredi soir et je peux faire ce qui me plaît. Je peux manger du « Fish and Chips » et aller au cinéma le Lyric.
Plus la peine de tendre le cou (3) au poulailler avec des gens tout autour de moi qui applaudissent quand (4) le Général Custer
se fait tuer par les Indiens et quand les Africains poursuivent Tarzan dans toute la jungle. Je peux aller au cinéma le Savoy
maintenant, et payer six pence un fauteuil en bas, aux premier rangs, où les gens plus distingués mangent des chocolats en
boites et mettent la main devant la bouche (5) lorsquils rient. Et après le film, je peux prendre le thé et manger des petits pains au restaurant à létage.
Michael mappelle, de lautre côté de la rue. Il a faim et se demande si par hasard, il pourrait aller « chez Abbot » (6) manger
un peu de pain. Nous irons au café le Colysée et prendrons du « Fish and Chips », tout ce quil voudra, de la limonade à
volonté et là-bas on mangera deux grosses barres (7) de chocolat. Après le film, on ira prendre le thé et des petits pains
« Chez Abbot », en chantant et en dansant tout le long du chemin
Dabord, jai fait une faute à OConnell (que je ne peux pas corriger), mais je lai corrigée dans mes envois Javais
mis OC. sur mon exemplaire de travail, et improvisé en collant sur le site. Lerreur ma frappée trop tard ensuite
Désolée !

(1) To hand: tendre - pas question de la main à la main : cash in hand/ to work off the books (sans être déclaré)
(ce qui ne veut pas dire que FMcCourt était 'déclaré' à ce moment là.) mais à lépoque, tout le monde était payé en espèces
et recevait une enveloppe hebdomadaire contenant le salaire gagné.)
(2) Vous avez tous remarqué le style dynamique qui traduit lenthousiasme du jeune homme qui reçoit son premier salaire en
début de texte.
Dans son esprit, cette somme lui fait intégrer le monde des adultes. Non seulement il peut se payer ce quil veut et ce
dont il « a besoin », mais aussi le superflu (le cinéma avec confort !) De plus, il peut aussi subvenir aux besoins de
son jeune frère Michael, ce qui a (y compris pour son ego) une importance immense, source de fierté et de responsabilité
assumée
(3) To sit up: Lien internet
Normalement, sit up signifie er de la position allongée
à la position assise (et faire des abdos ! ). Il a aussi le sens de se redresser. Imaginez Frank et Michael au poulail-
ler dun petit cinéma où il y a beaucoup de monde. Sils ne sont pas au premier rang de ce 2é ou 3é balcon, cela veut
dire quils doivent éviter les têtes qui sont devant eux doù ma traduction « tendre le cou ».
(4) Mort de Custer : 25 juin 1876, sur le champ de Bataille de Little Big Horn
Lien internet
Tarzan: Lien internet
(5) En français, on ne se couvre pas la bouche, on « met la main devant la bouche ».
(6) The Abbots signifie bien Chez Abbot, dans le magasin dAbbot. En toute logique, pour avoir les Abbot, on
devrait avoir the Abbots puisque les noms propres prennent le pluriel en anglais. Le magasin des Abbot serait
« the Abbots » avec le s non existant à cause du pluriel.
(7) Des barres de chocolat : pas des tablettes (ce serait trop gros !)

Voilà !







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